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Le meilleur des séries TV US et internationales
Cette histoire, elle commence à remonter. Depuis mai 2008, le Screen Actor Guild, principal syndicat des acteurs américains, essaye de négocier une valorisation de leur convention collective en accord avec l'AMPTP, regroupement des producteurs et des chaines de télévisions. Dans cette affaire complexe née quelques mois après la grève des scénaristes, un énième rebondissement vient d'éclater la nuit dernière.
Doug "bye" Allen
Et pourtant, le SAG semblait avoir fait des efforts. En novembre dernier, alors que les négociations venaient encore d'échouer, le syndicat était en train de se fissurer. D'un côté, ceux qui n'avaient pas peur de brandir la menace d'une grève pour obtenir gain de cause. C'était notamment le cas du président du SAG, Doug Allen. Et puis de l'autre ceux qui souhaitaient une sortie de crise rapide, plaidant pour le retour au dialogue dès que possible. Problème : l'AMPTP, fâchée suite aux rudes négociations, ne comptait pas revenir sur leur dernière proposition.
Devant l'effroi d'une potentielle grève, malvenue en ces temps de crise, et surtout la paralysie des négociations, le SAG décida de renvoyer fin janvier son président, Doug Allen. Un geste qui aura certainement favorisé la reprise des dialogues. Du coup, depuis ces dernières semaines, le SAG et l'AMPTP se parlent de nouveau mais dans un silence observé de tous. Jusqu'à hier.
Retour à l'envoyeur
Le SAG a rejeté dans la nuit de samedi à 73% la "last, best and final offer" de l'AMPTP. Malgré les changements dans sa direction, dont le leadership est désormais assuré par David White, déjà très contesté au sein même du SAG, les négociations viennent à nouveau d'échouer. White aurait notamment dit au conseil d'administration que l'offre de l'AMPTP "sucked" avant de s'excuser pour avoir utilisé un langage inapproprié, selon Nikki Finke.
En détail, le SAG conteste particulièrement la non-rétroactivité du contrat, portant son expiration, non pas à 2011 comme les autres syndicats (DGA, AFTRA et WGA) mais à 2012. Une manière de désolidariser leur action commune en quelque sorte. De son côté, l'AMPTP explique qu'il ne peut offrir un meilleur contrat que ceux signés par les autres syndicats alors même que la situation économique est plus grave aujourd'hui. Les déclarations des uns et des autres reproduisent exactement le dialogue de sourd que nous avons connu en fin d'année dernière. Bilan : on n'a pas avancé d'un pouce.
Doug "bye" Allen
Et pourtant, le SAG semblait avoir fait des efforts. En novembre dernier, alors que les négociations venaient encore d'échouer, le syndicat était en train de se fissurer. D'un côté, ceux qui n'avaient pas peur de brandir la menace d'une grève pour obtenir gain de cause. C'était notamment le cas du président du SAG, Doug Allen. Et puis de l'autre ceux qui souhaitaient une sortie de crise rapide, plaidant pour le retour au dialogue dès que possible. Problème : l'AMPTP, fâchée suite aux rudes négociations, ne comptait pas revenir sur leur dernière proposition.
Devant l'effroi d'une potentielle grève, malvenue en ces temps de crise, et surtout la paralysie des négociations, le SAG décida de renvoyer fin janvier son président, Doug Allen. Un geste qui aura certainement favorisé la reprise des dialogues. Du coup, depuis ces dernières semaines, le SAG et l'AMPTP se parlent de nouveau mais dans un silence observé de tous. Jusqu'à hier.
Retour à l'envoyeur
Le SAG a rejeté dans la nuit de samedi à 73% la "last, best and final offer" de l'AMPTP. Malgré les changements dans sa direction, dont le leadership est désormais assuré par David White, déjà très contesté au sein même du SAG, les négociations viennent à nouveau d'échouer. White aurait notamment dit au conseil d'administration que l'offre de l'AMPTP "sucked" avant de s'excuser pour avoir utilisé un langage inapproprié, selon Nikki Finke.
En détail, le SAG conteste particulièrement la non-rétroactivité du contrat, portant son expiration, non pas à 2011 comme les autres syndicats (DGA, AFTRA et WGA) mais à 2012. Une manière de désolidariser leur action commune en quelque sorte. De son côté, l'AMPTP explique qu'il ne peut offrir un meilleur contrat que ceux signés par les autres syndicats alors même que la situation économique est plus grave aujourd'hui. Les déclarations des uns et des autres reproduisent exactement le dialogue de sourd que nous avons connu en fin d'année dernière. Bilan : on n'a pas avancé d'un pouce.
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INFORMATIONS
Date : 22/02/2009 à 19:20 Auteur : Manuel Raynaud Catégorie : Bla Bla Bla Sous-Catégorie : Divers |
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