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Le meilleur des séries TV US et internationales
En février dernier, c'était l'effervescence dans les locaux de NBC. Car ils venaient de lancer, et avec succès, un remake qui on l'espère ne fera pas date dans l'histoire de la chaîne, celui de K2000. Reprenant le nom original de la série, Knight Rider, cet épisode malencontreux nous décoiffait par ses ambitions vaporeuses. Mais il y avait un aspect divertissant, de l'ordre de la pastiche insoupçonnée, involontaire même.
L'inconnue, c'est que depuis l'annonce de l'extension de ce téléfilm en série, son producteur Gary Scott Thompson s'était expréssément écrié dans la presse qu'ils -son équipe de scénaristes et lui- allaient procéder à un nouveau ravalement de façade. Le but était le suivant : rendre la série vraiment cool. Pour ce faire, ils ont visité la maison du futur de Microsoft et, armés de calepins, leur ont piqué tout pleins de fausses bonnes idées. Parlant de ses collègues, tonton Gary avait alors dit ceci : "Ils ont tous des téléphones portables, ils utilisent tous des ordinateurs, ils ont tous vu Transformers et tous ces films que nous allons prendre comme modèle."
Objectif réussi. Contrairement au téléfilm qui avait cette manie de parler un peu trop longuement de la relation entre un père et sa fille, le contenu dramatique et intellectuel du pilote de la série atteint, au moins, le niveau de Transformers, si ce n'est celui de Die Hard 4. C'est bien simple, à côté, Bionic Woman passe pour une série d'art et d'essai. Graphiquement, c'est très conformiste, dans la conformité d'un Fast & Furious par exemple. Et conformément à ces films de bagnoles, on traverse des villes en pleine nuit avec pleins de couleurs permettant de faire rôtir la carrosserie sous nos yeux désireux de caresser d'un peu plus près son vrombissant moteur.
Avant d'aller plus loin, je vous préviens, je vais spoiler. Ce qui j'espère ne vous fera pas fuir. Parce qu'il y a de quoi hésiter. L'introduction à ce fabuleux univers marque le ton : ils ont mis tout leur budget dans des effets spéciaux survitaminés -et franchement ridicules- mais du coup ils n'ont plus rien pour les décors. Le résultat est malheureux car la réalisation n'arrange rien. La caméra essaye de suivre Mike Traceur au coeur de l'action dans des mouvements plus ou moins maîtrisés entre deux parois puisqu'il s'agit essentiellement d'une succession de couloirs. Du coup, on fait avec les moyens du bord pour retenir les spectateurs comme par exemple :
L'inconnue, c'est que depuis l'annonce de l'extension de ce téléfilm en série, son producteur Gary Scott Thompson s'était expréssément écrié dans la presse qu'ils -son équipe de scénaristes et lui- allaient procéder à un nouveau ravalement de façade. Le but était le suivant : rendre la série vraiment cool. Pour ce faire, ils ont visité la maison du futur de Microsoft et, armés de calepins, leur ont piqué tout pleins de fausses bonnes idées. Parlant de ses collègues, tonton Gary avait alors dit ceci : "Ils ont tous des téléphones portables, ils utilisent tous des ordinateurs, ils ont tous vu Transformers et tous ces films que nous allons prendre comme modèle."
Objectif réussi. Contrairement au téléfilm qui avait cette manie de parler un peu trop longuement de la relation entre un père et sa fille, le contenu dramatique et intellectuel du pilote de la série atteint, au moins, le niveau de Transformers, si ce n'est celui de Die Hard 4. C'est bien simple, à côté, Bionic Woman passe pour une série d'art et d'essai. Graphiquement, c'est très conformiste, dans la conformité d'un Fast & Furious par exemple. Et conformément à ces films de bagnoles, on traverse des villes en pleine nuit avec pleins de couleurs permettant de faire rôtir la carrosserie sous nos yeux désireux de caresser d'un peu plus près son vrombissant moteur.
Avant d'aller plus loin, je vous préviens, je vais spoiler. Ce qui j'espère ne vous fera pas fuir. Parce qu'il y a de quoi hésiter. L'introduction à ce fabuleux univers marque le ton : ils ont mis tout leur budget dans des effets spéciaux survitaminés -et franchement ridicules- mais du coup ils n'ont plus rien pour les décors. Le résultat est malheureux car la réalisation n'arrange rien. La caméra essaye de suivre Mike Traceur au coeur de l'action dans des mouvements plus ou moins maîtrisés entre deux parois puisqu'il s'agit essentiellement d'une succession de couloirs. Du coup, on fait avec les moyens du bord pour retenir les spectateurs comme par exemple :
- S'essayer à l'écriture de dialogues à caractère humoristique,
- Déshabiller l'actrice principale,
- Evoquer un complot,
- Engager une asiatique qui fait des blagues cochonnes.
M.R.
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INFORMATIONS
Date : 28/09/2008 à 23:32 Auteur : la rédaction Fiche série : Knight Rider (2008) Catégorie : Bla Bla Bla Sous-Catégorie : Divers |
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