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Le meilleur des séries TV US et internationales
On ne peut pas renier ce fait : avec Californication, M6 aura eu le don d'agiter toute une partie des journalistes télés ramollis par les programmes d'Endemol. Mais quand j'ai lu les critiques dithyrambiques obtenues par la série, ça m'a donné envie de faire caca. Vous remarquerez d'ailleurs que la production de Showtime intègre deux fois cette syllabe : "ca".
Assis sur le trône, impassible bien qu'inquiet par la fluidité de mes excréments, je me suis demandé si un petit tour de ce qui s'est dit le tout sélectionné par mes soins pourrait vous intéresser. C'est en m'essuyant que j'ai pris vigoureusement cette décision : une revue de presse allégée s'imposait.
Cette introduction aura eu le mérite de vous mettre dans le bain. Vous l'aurez deviné, Californication n'est pas une série comme les autres. Elle a l'audace de raconter comment un écrivain raté joué par David Duchovny peut se distinguer de nos jours, sous toutes les formes.
Il est fainéant, obsédé sexuel, irresponsable et s'affranchit perpétuellement de ses limites et de celles imposées par la société. C'est un petit jeu qu'il a entamé depuis qu'il s'est fait jeté par son ancienne compagne mais surtout, depuis que son livre à succès a été porté à l'écran en une piteuse adaptation. Voilà grosso modo les traits du personnage et de la série que vous pouvez retrouver en détail dans un dossier écrit il y a déjà quelques mois à la fin de la diffusion américaine. Place maintenant au petit tour du web :
N'en déplaise à Christine Bouillet, directrice adjointe de la programmation chez M6, qui considère que "Californication franchit un cap dans l'écriture", n'hésitant par à la comparer à Sex & The City. J'ai d'ailleurs beau chercher, je ne trouve pas beaucoup de points communs avec cette dernière. S&TC porte un humour classe et léger alors que Californication nous fait rire par sa lourdeur et son humour gras.
Un aspect intéressant que j'ai remarqué tout à l'heure sur le site : la courbe de notes ne fait que décroître tout au long de la saison. Pour s'achever sur un misérable, mais mérité, 9,5 pour The Last Waltz, le dernier épisode. Le season finale représente tout ce que la série n'est pas, vous l'avez bien remarqué, et nous aussi. Pour ceux qui n'avaient pas vu la série jusque-là, je vous encourage à donner votre avis dans le forum que j'ai créé pour l'occasion et de partager un moment de bonheur intense entre lecteurs.
Générique de Californication
Extrait de la version originale
Assis sur le trône, impassible bien qu'inquiet par la fluidité de mes excréments, je me suis demandé si un petit tour de ce qui s'est dit le tout sélectionné par mes soins pourrait vous intéresser. C'est en m'essuyant que j'ai pris vigoureusement cette décision : une revue de presse allégée s'imposait.
Cette introduction aura eu le mérite de vous mettre dans le bain. Vous l'aurez deviné, Californication n'est pas une série comme les autres. Elle a l'audace de raconter comment un écrivain raté joué par David Duchovny peut se distinguer de nos jours, sous toutes les formes.
Il est fainéant, obsédé sexuel, irresponsable et s'affranchit perpétuellement de ses limites et de celles imposées par la société. C'est un petit jeu qu'il a entamé depuis qu'il s'est fait jeté par son ancienne compagne mais surtout, depuis que son livre à succès a été porté à l'écran en une piteuse adaptation. Voilà grosso modo les traits du personnage et de la série que vous pouvez retrouver en détail dans un dossier écrit il y a déjà quelques mois à la fin de la diffusion américaine. Place maintenant au petit tour du web :
- Télérama applaudit l'interprète : "La série, qui mêle à la fois dialogues percutants, chronique touchante d'un homme à la dérive et provocations un peu gratuites, a beau diviser, l'interprétation de Duchovny mérite à elle seule le coup d'œil",
- TVMag aime l'audace et l'humour : "Le résultat est cru, mais, passé le premier choc visuel, irrésistiblement drôle et amer. À réserver aux publics avertis et à ceux qui ne confondent pas la vulgarité gratuite avec un certain cynisme anticonformiste",
- Ecranlarge parle de "jubilation" verbale et considère la série comme "bien trop brillante pour faire la fine bouche",
- Toutelatele se contente de rapporter d'autres avis -un peu comme moi à l'heure actuelle- : "Un langage cru, de la débauche et un auteur analysant les mœurs de la société sur un écran d’ordinateur, il n’en faudra pas plus à certaines critiques pour présenter Californication comme un « Sex and the city masculin »",
- Programme-tv aime le cynisme et l'acteur : "Californication est une série marquante, tout d'abord pour son cynisme. Ensuite, par son "héros" incarné par David Duchovny (l'ancien agent parano Mulder dans X-Files)",
- et on finit avec Ecrans dont la rédaction est tellement fan qu'ils sont huit à partager leur avis, la plupart du temps très positifs. On retiendra celle-là : "Et pourtant, Californication vaut mieux qu’un coup d’un soir" qui nous rappelle un titre de fluctuat : "Californication est-elle mieux qu'un coup d'un soir ?"
N'en déplaise à Christine Bouillet, directrice adjointe de la programmation chez M6, qui considère que "Californication franchit un cap dans l'écriture", n'hésitant par à la comparer à Sex & The City. J'ai d'ailleurs beau chercher, je ne trouve pas beaucoup de points communs avec cette dernière. S&TC porte un humour classe et léger alors que Californication nous fait rire par sa lourdeur et son humour gras.
Un aspect intéressant que j'ai remarqué tout à l'heure sur le site : la courbe de notes ne fait que décroître tout au long de la saison. Pour s'achever sur un misérable, mais mérité, 9,5 pour The Last Waltz, le dernier épisode. Le season finale représente tout ce que la série n'est pas, vous l'avez bien remarqué, et nous aussi. Pour ceux qui n'avaient pas vu la série jusque-là, je vous encourage à donner votre avis dans le forum que j'ai créé pour l'occasion et de partager un moment de bonheur intense entre lecteurs.
Générique de Californication
Extrait de la version originale
Christian Slater chez NBC | Le grand bilan de l'année 2023 : séries, épisodes, membres, choix de la rédaction |
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INFORMATIONS
Date : 15/03/2008 à 23:02 Auteur : la rédaction Fiche série : Californication Catégorie : Bla Bla Bla Sous-Catégorie : Revue de presse |
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