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Le meilleur des séries TV US et internationales
En octobre dernier, la FOX se prononçait en faveur d'un remake de la comédie britannique déjantée, Spaced. Créée par Simon Pegg et Jessica Stevenson, qui interprètent les deux rôles principaux, Spaced, diffusée sur Channel 4 en 1999, témoignait à nouveau d'une comédie anglaise décalée -souvenez-vous, Red Dwarf.
L'histoire était simple : Tim et Daisy, loser joueur de jeu vidéo pour l'un et journaliste ratée pour l'autre, se faisaient passer pour un couple afin de ne pas dormir sous un pont. Une fois en ménage, ils se découvrent des voisins de paliers presque aussi tarés qu'eux. Spaced s'arrêtera au bout de sa deuxième saison et ses 14 épisodes alors qu'elle s'était constituée un solide tissu de fan. Ses références à la culture geek n'y étaient d'ailleurs pas indifférentes.
Et donc presque 10 ans après, la FOX annonce vouloir reprendre l'idée de base et le nom pour "l'américaniser". La commande d'un pilote pour ce remake étant désormais officielle, Simon Pegg est sorti de sa réserve pour se prononcer. Il ne cache pas son énervement au cours d'une longue explication publiée sur Peggster.net, un site de fans.
S'il ne remet pas en cause la nécessité d'un remake, citant la réussite de The Officeen guise d'exemple, il revient en revanche sur le comportement de ceux qui ont vendu la série à la chaîne amériaine :
Finalement, après avoir écrit ce pamphlet, Simon Pegg et Jessica Stevenson ont été informé qu'ils devraient recevoir une compensation financière pour l'exploitation de leurs idées. Cependant, il précise, persistant, que le problème principal est le déshonneur de ne pas avoir été consulté : "The issue however remains one of principal and respect rather than one of compensation."
L'histoire était simple : Tim et Daisy, loser joueur de jeu vidéo pour l'un et journaliste ratée pour l'autre, se faisaient passer pour un couple afin de ne pas dormir sous un pont. Une fois en ménage, ils se découvrent des voisins de paliers presque aussi tarés qu'eux. Spaced s'arrêtera au bout de sa deuxième saison et ses 14 épisodes alors qu'elle s'était constituée un solide tissu de fan. Ses références à la culture geek n'y étaient d'ailleurs pas indifférentes.
Et donc presque 10 ans après, la FOX annonce vouloir reprendre l'idée de base et le nom pour "l'américaniser". La commande d'un pilote pour ce remake étant désormais officielle, Simon Pegg est sorti de sa réserve pour se prononcer. Il ne cache pas son énervement au cours d'une longue explication publiée sur Peggster.net, un site de fans.
S'il ne remet pas en cause la nécessité d'un remake, citant la réussite de The Officeen guise d'exemple, il revient en revanche sur le comportement de ceux qui ont vendu la série à la chaîne amériaine :
Mais au fond de lui, il regrette d'autant plus avoir signé un contrat à l'époque sans s'être assuré qu'il figure dans celui-ci un moyen d'éviter ce type de dérives.
Peggster.net :
My main problem with the notion of a Spaced remake is the sheer lack of respect that Granada/ Wonderland/Warner Bros have displayed in respectively selling out and appropriating our ideas without even letting us know
Du coup, il pose la question très simple. S'ils n'en ont rien à faire de l'intégrité de l'oeuvre originale, pourquoi l'appeler Spaced, au front et à la barbe de ses créateurs ? "Just don't call it Spaced" impore-t-il, scandalisé.
Peggster.net :
We signed away our rights to any input in the show's international future, because we just wanted to get the show made and these dark days of legal piracy seemed a far away concern. As a result, we have no rights. The show does not belong to us and, those that do own it have no obligation to include us in any future plans. [...] It is this flagrant snub and effective vote of no confidence in the very people that created the show, that has caused such affront at our end.
Finalement, après avoir écrit ce pamphlet, Simon Pegg et Jessica Stevenson ont été informé qu'ils devraient recevoir une compensation financière pour l'exploitation de leurs idées. Cependant, il précise, persistant, que le problème principal est le déshonneur de ne pas avoir été consulté : "The issue however remains one of principal and respect rather than one of compensation."
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INFORMATIONS
Date : 05/03/2008 à 01:07 Auteur : la rédaction Catégorie : Annonce Sous-Catégorie : Confirmation |
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