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FIPA : La télé façon cinéma ?



ENFIN ! Non, ceci n'est pas l'expression du relâchement de la pression psychologique due à l'excitation générée par le festival, bien que ce dernier dispose d'atouts charmants que je vais découvrir lors des projections durant ces prochains jours. En fait, c'est juste que j'ai passé toute la journée dans le train et que j'ai le dos gravement déchiré au moins. Sans compter mon humeur massacrée par un bambin qui pensait que son besoin de biberon était plus important que mon besoin de sommeil. Je propose donc que la SNCF interdise le lait dans les bagages des usagers.

Sinon, que dire. Biarritz. Ah, la ville de... du surf, de... Bixente Lizarazu (quoique, wikipédia me dit que non et donc que cette légende urbaine est plus légendaire au sens Perceval du terme qu'urbaine), bref, du soleil et du +20°C quand on n'est pas en janvier. J'étais plus ou moins content puisque c'est ma première fois dans la ville. Il est donc tout à fait possible que Spin-Off se transforme en guide touristique le temps d'une semaine. Mais c'est surtout ma première fois dans ce festival.

C'est la folie dans le centre de Biarritz - une voiture au loin traverse la ville

Et cela a commencé dès le train, à partir de Bordeaux. J'y retrouve Sullivan Le Postec et Carine Wittman qui sont là pour Le Village (et du coup, je vous encourage à aller voir leur site hein). On y a dressé le portrait du festival dans un podcast qui sera sur leur site : les attentes (Les Beaux Mecs, unanime, Xanadu, pour voir et puis Borgen, pour ma part) et un point qui fait un peu tâche, l'absence totale des comédies. Un focus sur les séries anglaises sans évoquer la britcom, c'est peut-être (non, c'est pas peut-être en fait) un peu fâcheux.

Puis arrivé sur place. Hôtel. Petit détour par l'espace presse (où je n'obtiendrai pas mon badge pour d'odieuses raisons - la machine ne marchant plus - en fait, y a une autre raison à cette raison mais je n'ose pas la raconter car ça consisterait à expliquer que j'ai plus ou moins oublié d'envoyer une photo). Et puis c'est parti pour la soirée d'ouverture. Présentation des jury et deux trois phrases par-ci, par-là retenues : "Promouvoir l'idée d'un audiovisuel différent", "Le meilleur de la télévision", "Il nous faut du bonheur".

Mais ce que j'en retiens surtout, c'est un léger malaise quand on comprend, dans les discours et dans le choix des jurés (un critique cinéma dans le jury séries, vraiment ?), c'est que la télévision, pour être intéressante, devrait copier le cinéma. Le choix de projeter Boardwalk Empire, série ultra-marketée un peu partout dans le monde sur le nom de Martin Scorsese (alors qu'on sait que son cerveau, c'est surtout Terence Winter) est une marque de ce choix éditorial toujours légèrement contestable.

Ceci n'étant que la compétition, ce n'est pas complètement grave non plus. Demain, je vais voir une série italienne sur un asile dont le boss ne veut pas utiliser des méthodes de barbares pour soigner ses patients mais également Les Beaux Mecs. J'vous raconterai tout ça. Et cette fois-ci, promis, je m'appliquerai un peu sur les photos (que je n'ai donc pas publiées parce qu'elles sont toutes floues).


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INFORMATIONS
Date : 25/01/2011 à 00:44
Auteur :
Tags : fipa festival international de programmes audiovisuels jour 1 ouverture
Catégorie : Bla Bla Bla
Sous-Catégorie : Festival


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