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Le meilleur des séries TV US et internationales
Si la première version des Aventuriers de 8h22 était une série à ses débuts assez confidentielle et réalisée avec peu de moyens, elle préfigurait avec un succès d'estime conséquent le futur boom que l'on connait aujourd'hui de ce type de formats. Rencontre avec deux de ses créateurs.
Spin-Off.fr : Est-ce que vous pouvez nous raconter comment l'idée de créer cette série vous est venue ?
Karim Alliane : L'idée de cette série est venue assez simplement. Avant de travailler sur cette série, j'avais développé avec Gilles François un autre concept qui tournait aussi autour du temps et qui s'appelait 20-8... Le scénario et l'idée de base étaient totalement différents, mais il y avait certaine similitude autour de la narration et du temps...
Il y a deux ans, je devais tourner un court métrage mais le tournage s’est décalé d’un mois. En compagnie d’une petite équipe, dont Gilles François, Agathe Cury et Lucas Bernard, nous avons tourné le premier épisode de la série. Ensuite, bien plus tard (3 mois après), nous l’avons mis en ligne et demandé aux internautes de voter s’ils voulaient voir la suite…
Plusieurs centaines de votes nous ont convaincu de continuer. J’ai alors demandé de l’aide à Franck Soullard afin qu’il m’aide à développer le projet pour la suite. Nous avons ainsi tourné 10 épisodes qui ont fait office de pilote pour la saison TV…
Pourquoi 8h22 et pas 16h53 ?
Franck Soullard : Parce que c'est le matin, d'abord, et puis parce que ça sonne bien !
K.A : Pourquoi pas ? Disons que personnellement j’aime bien les 8…
A quel moment (et grâce à qui) avez-vous eu l'occasion de produire à nouveau intégralement la saison 1 ?
F.S : Tout a démarré avec la création de notre société de production "Les Productions du Bled". C'est grâce à l'achat de la version pilote par la chaîne Paris Cap (aujourd'hui Cap 24, sur la TNT île de France) que nous avons pu le faire. Ensuite, nous avons démarché le CNC avec le projet de tourner une version "pro", coproduite et diffusée par Cap 24 et Lyon TV, tous deux co-producteurs et diffuseurs de la série. Il était indispensable de repartir à zéro, aussi bien d'un point de vue de production (il fallait une première saison pour attirer des partenaires) que du point de vue de l'écriture (la version web partait dans tous les sens, et nous-même nous nous y perdions).
Qui sont les scénaristes qui on travaillé sur la série ? Quel temps l'écriture leur a pris ? Quel était leur méthode de travail ?
F.S : Les 4 scénaristes sont les 4 associés des productions du Bled : Karim Alliane (aussi réalisateur), Agathe Cury (qui joue Anna), Gilles François (qui joue Gilles !) et Franck Soullard (aussi producteur). L'écriture a bien dû prendre un mois, mais il faut ajouter les heures et les heures de discussion, au préalable.
La méthode fut rigoureuse, il faut le dire. Avec huit épisodes et tant de personnages et de trames, avec tant de mystères à dévoiler progressivement, il nous a fallu inventer une merveille appelée : "le paper board du ghetto". En gros, une gigantesque feuille blanche bourrée de post-it.
Lorsque la structure fut posée, nous avons travaillé dans le détail, plutôt par équipe de deux. L'objectif était de ne pas démarrer trop vite, et d'entraîner lentement le téléspectateur.
La série d'origine était moins marquée par le genre alors que la nouvelle se rapproche bien plus du burlesque, de la comédie. Que s'est-il passé entre temps pour qu'une telle évolution se produise ?
F.S : La série d'origine était déjà bien barrée. Ce que nous avons réellement voulu mettre en place avec la saison 1 TV (et qui était un défi autant à l'écriture qu'à la réalisation et au montage), c'est un mélange des genres qui soit cohérent, et digeste ! La comédie et le burlesque sont inévitables pour nous, mais les aspects sérieux, dramatiques et mystérieux devaient exister, pour développer les thèmes les plus forts.
K.A : La série d’origine était déjà très marquée par le genre, nous avons je pense juste poussé la logique un peu plus loin. A la réalisation ainsi qu’en post production, on a eu un peu plus les moyens de se « lâcher », et on le voit forcement à l’écran je pense.
Est-ce pour cette raison du genre que vous avez modifié l'entourage de Gilles ou tout simplement parce que la série avait besoin de s'étoffer de personnages plus consistants ?
F.S : Vous devez parler d'Anna et de Barnabé, ses deux amis proches. Nous savions qu'il fallait que la vie mystérieuse, cachée, de Gilles soit équilibrée par les relations avec le monde "réel". Il lui fallait un noyau amical solide, qui représente rapidement dans la série la difficulté d'être un Aventurier et de mener une vie normale. Les deux mondes s'opposent, et c'est ce qui représente le dilemme de Gilles.
K.A : Oui, tout à fait, ce que nous avons voulu développer dans cette nouvelle saison 1, c’est un univers plus centré sur les personnages, sur leurs préoccupations, leur quotidien.
Avez-vous une idée de l'audience de la série sur la chaîne CAP24 ? Dans quelle mesure ces résultats (en comprenant les visionnages de Dailymotion) vous ont-ils satisfaits ?
F.S : Nous n'avons aucune idée de l'audience de la série sur Cap24, qui émet depuis trop peu de temps. Actuellement, les visionnages sur Dailymotion atteignent les 80 000, et même si l'affluence de la mise en avant est passée, les épisodes sont toujours régulièrement regardés.
Nous sommes satisfaits par ces chiffres, mais nous sommes surtout ravis de voir qu'une existence sur une chaine de télévision et sur un gros site de diffusion, en parallèle, a représenté pour la presse une sorte d'événement. Grâce à la programmation groupée des Lascars, de Putain de Série [NDLR : voir notre article], et des Aventuriers de 8h22, les journalistes se sont intéressés à ces nouveaux créneaux et ces nouveaux créateurs qu'Internet permet de découvrir.
Quel a été votre budget pour cette saison ?
F.S : Le budget pour cette saison est de 150 000 euros, ce qui est très peu pour 64 minutes de programme de ce genre. Cela représente beaucoup de sacrifices de la part des équipes techniques et artistiques, de la part de la production, et beaucoup de débrouillardise malgré le passage
à la professionnalisation.
La saison 2 verra-t-elle vraiment le jour ?
F.S : Nous travaillons activement à la saison 2. Nous sommes en écriture et en démarchage. Nous cherchons de nouveaux partenaires (chaines, co-producteurs) pour entrer en développement. Je peux d'emblée vous dire qu'il y aura plus d'épisodes et qu'ils seront plus longs. Mais tout est prévu, et nous savons (dans les grandes lignes) exactement où nous allons. Quant à la date... nous ne sommes pas complètement maitre de notre destin !
A travers les mystères développés dans la série, on vous sent dans la parodie de certaines séries américaines comme Lost. Y a-t-il d'autres références que l'on aurait manqué ?
F.S : De nombreux principes que l'on retrouve aujourd'hui dans les séries américaines à succès sont en effet présents. Les cliffhangers, en particulier, nous plaisent beaucoup. Je garde un souvenir ému et agacé de la fin d'un épisode de Twin Peaks où l'on entendait Dale Cooper annoncer : "Je sais qui a tué Laura Palmer !" La coexistence de plusieurs trames secondaires est une chose que nous aimons développer. Jouer avec le spectateur, aussi. Cette série puise un peu partout, séries, films populaires, sitcoms, grandes sagas, westerns spaghetti... Sur les commentaires de Dailymotion, quelqu'un a même comparé 8h22 au travail des grands feuilletonistes du XIX siècle français !
K.A : Je ne peux pas le nier, je suis un grand fan de série, j’en suit un certain nombre (24, Lost, Dexter, Weeds, La commune, Engrenages) et en vénère certaines (Twin Peaks, Les Sopranos, Carnivale, Buffy)… Les références sont multiples. Par exemple, pour certains plans nous avons utilisé des filtres que l’on peut voir dans Les Experts… Rendant plutôt l’image orange ou bleue…
Mais le but n’est pas de parodier quelque chose d’existant mais tout simplement de raconter une histoire, et d’entraîner le spectateur dans celle-ci.
Pour une série de ce calibre, le travail visuel (photographie, effets spéciaux, réalisation, décors) est étonnant. Qui sont les responsables de cette petite réussite ?
F.S : La lumière et le cadre sont les fruits du travail talentueux de Lucas Bernard. La réalisation acharnée revient à Karim Alliane Les décors sont de Paola Debiasi et Bérengère Nicole et les costumes (une sacrée liste) sont réalisés par Sarah Topalian. Quant aux effets spéciaux numériques, ils reviennent au Saint Patron des SFX : David Tabourier. Ne pas oublier, au son : Miguel Dias ! Et tous les autres, parce que (je crois que tout le monde dit ça, mais nous savons nous que c'est vrai) c'est un sacré travail d'équipe.
On a pu lire à droite ou à gauche que le running-gag avec Jennifer en agaçait plus d'un. Avez-vous des plans de prévus pour son personnage en saison 2 ?
F.S : Oui, tout est prévu ! En revanche, la proportion de fans de Jennifer dépasse largement les mécontents, d'après nos relevés. Mais nous sommes ravis que le personnage puisse agacer : Jennifer est tellement "trop" qu'elle ne pouvait pas laisser indifférent. Un scoop pour la suite : le personnage de Jennifer évoluera, et il faudra vous attendre à un autre running-gag...
Retrouvez ci-dessous le premier épisode de la série. Pour voir les autres, faites un tour sur la page qui lui est réservée sur dailymotion.
Spin-Off.fr : Est-ce que vous pouvez nous raconter comment l'idée de créer cette série vous est venue ?
Karim Alliane : L'idée de cette série est venue assez simplement. Avant de travailler sur cette série, j'avais développé avec Gilles François un autre concept qui tournait aussi autour du temps et qui s'appelait 20-8... Le scénario et l'idée de base étaient totalement différents, mais il y avait certaine similitude autour de la narration et du temps...
Il y a deux ans, je devais tourner un court métrage mais le tournage s’est décalé d’un mois. En compagnie d’une petite équipe, dont Gilles François, Agathe Cury et Lucas Bernard, nous avons tourné le premier épisode de la série. Ensuite, bien plus tard (3 mois après), nous l’avons mis en ligne et demandé aux internautes de voter s’ils voulaient voir la suite…
Plusieurs centaines de votes nous ont convaincu de continuer. J’ai alors demandé de l’aide à Franck Soullard afin qu’il m’aide à développer le projet pour la suite. Nous avons ainsi tourné 10 épisodes qui ont fait office de pilote pour la saison TV…
Pourquoi 8h22 et pas 16h53 ?
Franck Soullard : Parce que c'est le matin, d'abord, et puis parce que ça sonne bien !
K.A : Pourquoi pas ? Disons que personnellement j’aime bien les 8…
A quel moment (et grâce à qui) avez-vous eu l'occasion de produire à nouveau intégralement la saison 1 ?
F.S : Tout a démarré avec la création de notre société de production "Les Productions du Bled". C'est grâce à l'achat de la version pilote par la chaîne Paris Cap (aujourd'hui Cap 24, sur la TNT île de France) que nous avons pu le faire. Ensuite, nous avons démarché le CNC avec le projet de tourner une version "pro", coproduite et diffusée par Cap 24 et Lyon TV, tous deux co-producteurs et diffuseurs de la série. Il était indispensable de repartir à zéro, aussi bien d'un point de vue de production (il fallait une première saison pour attirer des partenaires) que du point de vue de l'écriture (la version web partait dans tous les sens, et nous-même nous nous y perdions).
Qui sont les scénaristes qui on travaillé sur la série ? Quel temps l'écriture leur a pris ? Quel était leur méthode de travail ?
F.S : Les 4 scénaristes sont les 4 associés des productions du Bled : Karim Alliane (aussi réalisateur), Agathe Cury (qui joue Anna), Gilles François (qui joue Gilles !) et Franck Soullard (aussi producteur). L'écriture a bien dû prendre un mois, mais il faut ajouter les heures et les heures de discussion, au préalable.
La méthode fut rigoureuse, il faut le dire. Avec huit épisodes et tant de personnages et de trames, avec tant de mystères à dévoiler progressivement, il nous a fallu inventer une merveille appelée : "le paper board du ghetto". En gros, une gigantesque feuille blanche bourrée de post-it.
Lorsque la structure fut posée, nous avons travaillé dans le détail, plutôt par équipe de deux. L'objectif était de ne pas démarrer trop vite, et d'entraîner lentement le téléspectateur.
![]() Dans l'épisode 3, Gilles s'aperçoit que la vie, c'est pas comme dans GTA |
La série d'origine était moins marquée par le genre alors que la nouvelle se rapproche bien plus du burlesque, de la comédie. Que s'est-il passé entre temps pour qu'une telle évolution se produise ?
F.S : La série d'origine était déjà bien barrée. Ce que nous avons réellement voulu mettre en place avec la saison 1 TV (et qui était un défi autant à l'écriture qu'à la réalisation et au montage), c'est un mélange des genres qui soit cohérent, et digeste ! La comédie et le burlesque sont inévitables pour nous, mais les aspects sérieux, dramatiques et mystérieux devaient exister, pour développer les thèmes les plus forts.
K.A : La série d’origine était déjà très marquée par le genre, nous avons je pense juste poussé la logique un peu plus loin. A la réalisation ainsi qu’en post production, on a eu un peu plus les moyens de se « lâcher », et on le voit forcement à l’écran je pense.
Est-ce pour cette raison du genre que vous avez modifié l'entourage de Gilles ou tout simplement parce que la série avait besoin de s'étoffer de personnages plus consistants ?
F.S : Vous devez parler d'Anna et de Barnabé, ses deux amis proches. Nous savions qu'il fallait que la vie mystérieuse, cachée, de Gilles soit équilibrée par les relations avec le monde "réel". Il lui fallait un noyau amical solide, qui représente rapidement dans la série la difficulté d'être un Aventurier et de mener une vie normale. Les deux mondes s'opposent, et c'est ce qui représente le dilemme de Gilles.
K.A : Oui, tout à fait, ce que nous avons voulu développer dans cette nouvelle saison 1, c’est un univers plus centré sur les personnages, sur leurs préoccupations, leur quotidien.
Avez-vous une idée de l'audience de la série sur la chaîne CAP24 ? Dans quelle mesure ces résultats (en comprenant les visionnages de Dailymotion) vous ont-ils satisfaits ?
F.S : Nous n'avons aucune idée de l'audience de la série sur Cap24, qui émet depuis trop peu de temps. Actuellement, les visionnages sur Dailymotion atteignent les 80 000, et même si l'affluence de la mise en avant est passée, les épisodes sont toujours régulièrement regardés.
Nous sommes satisfaits par ces chiffres, mais nous sommes surtout ravis de voir qu'une existence sur une chaine de télévision et sur un gros site de diffusion, en parallèle, a représenté pour la presse une sorte d'événement. Grâce à la programmation groupée des Lascars, de Putain de Série [NDLR : voir notre article], et des Aventuriers de 8h22, les journalistes se sont intéressés à ces nouveaux créneaux et ces nouveaux créateurs qu'Internet permet de découvrir.
Quel a été votre budget pour cette saison ?
F.S : Le budget pour cette saison est de 150 000 euros, ce qui est très peu pour 64 minutes de programme de ce genre. Cela représente beaucoup de sacrifices de la part des équipes techniques et artistiques, de la part de la production, et beaucoup de débrouillardise malgré le passage
à la professionnalisation.
La saison 2 verra-t-elle vraiment le jour ?
F.S : Nous travaillons activement à la saison 2. Nous sommes en écriture et en démarchage. Nous cherchons de nouveaux partenaires (chaines, co-producteurs) pour entrer en développement. Je peux d'emblée vous dire qu'il y aura plus d'épisodes et qu'ils seront plus longs. Mais tout est prévu, et nous savons (dans les grandes lignes) exactement où nous allons. Quant à la date... nous ne sommes pas complètement maitre de notre destin !
![]() Jennifer se prépare pour sa chronique qu'on Adoooooore... Enfin pas tous |
A travers les mystères développés dans la série, on vous sent dans la parodie de certaines séries américaines comme Lost. Y a-t-il d'autres références que l'on aurait manqué ?
F.S : De nombreux principes que l'on retrouve aujourd'hui dans les séries américaines à succès sont en effet présents. Les cliffhangers, en particulier, nous plaisent beaucoup. Je garde un souvenir ému et agacé de la fin d'un épisode de Twin Peaks où l'on entendait Dale Cooper annoncer : "Je sais qui a tué Laura Palmer !" La coexistence de plusieurs trames secondaires est une chose que nous aimons développer. Jouer avec le spectateur, aussi. Cette série puise un peu partout, séries, films populaires, sitcoms, grandes sagas, westerns spaghetti... Sur les commentaires de Dailymotion, quelqu'un a même comparé 8h22 au travail des grands feuilletonistes du XIX siècle français !
K.A : Je ne peux pas le nier, je suis un grand fan de série, j’en suit un certain nombre (24, Lost, Dexter, Weeds, La commune, Engrenages) et en vénère certaines (Twin Peaks, Les Sopranos, Carnivale, Buffy)… Les références sont multiples. Par exemple, pour certains plans nous avons utilisé des filtres que l’on peut voir dans Les Experts… Rendant plutôt l’image orange ou bleue…
Mais le but n’est pas de parodier quelque chose d’existant mais tout simplement de raconter une histoire, et d’entraîner le spectateur dans celle-ci.
Pour une série de ce calibre, le travail visuel (photographie, effets spéciaux, réalisation, décors) est étonnant. Qui sont les responsables de cette petite réussite ?
F.S : La lumière et le cadre sont les fruits du travail talentueux de Lucas Bernard. La réalisation acharnée revient à Karim Alliane Les décors sont de Paola Debiasi et Bérengère Nicole et les costumes (une sacrée liste) sont réalisés par Sarah Topalian. Quant aux effets spéciaux numériques, ils reviennent au Saint Patron des SFX : David Tabourier. Ne pas oublier, au son : Miguel Dias ! Et tous les autres, parce que (je crois que tout le monde dit ça, mais nous savons nous que c'est vrai) c'est un sacré travail d'équipe.
On a pu lire à droite ou à gauche que le running-gag avec Jennifer en agaçait plus d'un. Avez-vous des plans de prévus pour son personnage en saison 2 ?
F.S : Oui, tout est prévu ! En revanche, la proportion de fans de Jennifer dépasse largement les mécontents, d'après nos relevés. Mais nous sommes ravis que le personnage puisse agacer : Jennifer est tellement "trop" qu'elle ne pouvait pas laisser indifférent. Un scoop pour la suite : le personnage de Jennifer évoluera, et il faudra vous attendre à un autre running-gag...
Retrouvez ci-dessous le premier épisode de la série. Pour voir les autres, faites un tour sur la page qui lui est réservée sur dailymotion.
Et si... on faisait nos spin-off ? | Le grand bilan de l'année 2023 : séries, épisodes, membres, choix de la rédaction |
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INFORMATIONS
Date : 21/01/2009 à 00:01 Auteur : Manuel Raynaud Chaine : Web |
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