Netflix brise des couples

Selon une étude américaine (il fallait bien que je commence par cette phrase...), diligentée par Netflix, le service de vidéo à la demande est un facteur avéré poussant à l'adultère... Mais pas à l'adultère comme on l'entend habituellement : ici, on parle d'adultère de visionnage.

Car d'après les chiffres fournis par Netflix, intéressé par ce phénomène de société suite à un article du New York Magazine, 12% de ses utilisateurs oseraient regarder la suite d'une série sans son conjoint... Parmi ceux-là, 66% le font à la maison sur la télévision principale tandis que 21% le font directement dans le lit, juste à côté de son partenaire, pendant qu'il dort.

Bon, évidemment, on s'en fout, mais le fait est que Netflix s'en amuse. D'abord dans les déclarations du boss des programmes de Netflix, qui assure ne pas couvrir les frais de thérapie de couple en cas de tensions. Et puis aussi en vidéo :